LE BRIANÇONNAIS

 

 

 

 

Vauban décrivait ainsi le Briançonnais : "Il comprend des montagnes qui touchent aux nues et des vallées qui descendent aux abîmes".

Le Briançonnais est renommé pour son climat méridional de montagne caractérisé par la pureté du ciel et la qualité de la lumière.

Janvier 1969 au col du Lautaret avec Patrice.

1971 – Toujours au col du Lautaret, vente de reines des Alpes.

 

 

Cité Vauban

Ancienne capitale de la République des Escartons au XIVe siècle puis citée militaire des Alpes, à la confluence de cinq vallées, Briançon est la ville la plus haute de France (1326 mètres d’altitude). Cette ville d’art et d’histoire fortifiée par Vauban au XVIIIème siècle, est aujourd’hui classée au patrimoine mondial de l’UNESCO.

1982 – Vue sur LE PINET et sur l’Aiglon, l’appartement que nous achetons au retour du Koweit.

1985 – Le pont d’Asfeld

Août 1987, visite de la vieille ville avec les Macé.

1988 – Notre Dame des Neiges à PUY-SAINT-PIERRE.

1988 - Avec les Grimault

Une fois franchie la porte de Pignerol, la vieille ville, pittoresque à souhait, dévoile à ses visiteurs nombre de témoignages de son passé. La collégiale Notre-Dame du XVIIIe siècle, l’église des Cordeliers du XIVe siècle, les demeures anciennes s’élevant de part et d’autre de la petite et grande Gargouille, la charmante place d’Armes entourée de jolies façades colorées évoquant la Provence, ou encore les fontaines et cadrans solaires, sont autant de découvertes qui s’offrent au regard des amoureux d’architecture.

Vue de Briançon depuis les Ayes en été 1988

1994 - Dans la Gargouille, avec les Khoury.

Après-midi au lac de MONÉTIER-LES-BAINS en 1994.

 

 Paroles et musique de Guy Béart,

du film "L’eau vive"

 

Ma petite est comme l’eau,

elle est comme l’eau vive

Elle court comme un ruisseau, que les enfants poursuivent

Courez, courez vite si vous le pouvez

Jamais, jamais vous ne la rattraperez

Lorsque chantent les pipeaux, lorsque danse l’eau vive

Elle mène les troupeaux, au pays des olives

Venez, venez, mes chevreaux, mes agnelets

Dans le laurier, le thym et le serpolet

Un jour que, sous les roseaux, sommeillait mon eau vive les gars du hameau pour l’emmener captive

Fermez, fermez votre cage à double clé

Entre vos doigts, l’eau vive s’envolera

Comme les petits bateaux, emportes par l’eau vive

Dans ses yeux les jouvenceaux voguent à la dérive

Voguez, voguez demain vous accosterez

L’eau vive n’est pas encore à marier

Pourtant un matin nouveau à l’aube, mon eau vive

Viendra battre son trousseau, aux cailloux de la rive

Pleurez, pleurez, si je demeure esseulé

Le ruisselet, au large, s’en est allé.

 2000 - Le four de CHAMANDRIN, allumé par les habitants de la commune pour le sou des écoles.

2000 - Photo prise depuis le parc de la Shappe.

2005 - Parc de la Shappe

 Année 2005

Hiver 2010